Dogging nature

La journée avait été chaude. Le soleil se couchait et la pénombre s’installait dans le petit parc. Nous nous étions donné rendez-vous sur un banc publique. Marie, légèrement vêtue, mini-jupe et chemise légère, était un peu exhibitionniste et son mari aimait la voir s’exhiber en présence d’un autre homme. Nous avions entamé la conversation, j’avais posé ma main sur sa cuisse et lentement je la caressais. Luc, son mari, entreprit alors de lui dénuder et caresser les seins. Ses tétons ne tardèrent pas à pointer bien fort ce qui était très excitant. Ma main descendit entre ses cuisses qu’elle écarta révélant sa belle chatte vu qu’elle ne portait pas de culotte. J’entrepris de lui caresser lentement ses lèvres vaginales et son clito. Marie se tourna vers son mari et l’embrassa pendant que j’enfonçais un doigt dans sa chatte chaude et mouillée. De tout évidence Marie était très excitée (aussi). Mais nous n’étions pas certains d’être seul dans ce parc et nous mîmes un terme à ces préliminaires. Puis Luc me remercia pour ce bon moment, il prit Marie par la main et ils s’éloignèrent, mais pas vers le parking, ils prirent la direction d’un petit bois. Je les suivis à distance. Il faisait fort sombre mais je les retrouvai assis sur un banc dans une petite clairière. Marie avait sorti la queue de Luc et le branlait lentement. Ça me donna une érection de les voir ainsi prendre du plaisir sexuel tout naturellement en pleine nature. Je restai à distance dans le sous-bois et sorti également mon vit et me branlai en les regardant. Luc invita Marie à venir à genoux entre ses jambes, elle s’exécuta et commença à le sucer. Il lui caressa la tête et les épaules presque tendrement et lui dénuda les seins qui pendaient à présent et se balançaient dès lors qu’elle prenait sa queue dans sa bouche. C’était très excitant. Je me rapprochais à quelques mètres pour mieux voir et continua à me branler. Marie et Luc s’aperçurent de mon excitation vu que je bandais fort. Et ça leur plu. Ils m’invitèrent à leur côté et Marie prit ma queue dans sa main et me branla tout en continuant à sucer son mari. Puis Luc l’invita à se relever mais la força de sa main à continuer à le sucer. Elle du me lâcher le sexe et je lui caressai les seins doux et lourds. De son autre main Luc remonta sa jupe dénudant ses belles fesses. Aussitôt je commençai à les caresser, je vins me mettre derrière elle et l’incita à écarter un peu les cuisses. Sa chatte fut alors bien visible, offerte à mon désir avec ses grosses lèvres vaginales toute mouillées qui pendaient entres ses cuisses. Je la doigtai lentement, passant un doigt entres ses lèvres et sur son clito, faisant monter son désir, puis j’insérai un doigt lentement dans son vagin. Marie gémit. Luc continua à maintenir sa tête sur sa queue alors que je me rapprochai et commençai à frotter mon sexe dur et érigé le long de sa fente des fesses puis entre ses cuisses, frottant mon dard contre sa chatte toute mouillée, imprégnant mon sexe de sa mouille vaginale. Mon désir était très fort de la pénétrer et Marie et Luc n’attendaient que ça. Je glissai alors mon pénis lentement entre ses lèvres vaginales. Elle frémit et gémit de plaisir. Je poussai plus fort dans son vagin, mon sexe planté à fond dans son vagin, Marie était ainsi coincée entre son mari et moi. Je pris ses cuisses dans mes mains, les écartant au maximum pour pouvoir la pénétrer au plus profond et commençai à la baiser plus durement. Je pouvais voir et percevoir à ses gémissements qu’elle adorait ça. Je ne me fis pas prier et la baisa ainsi de longues minutes. Elle se redressa un peu et embrassa son mari. J’agrippai sa croupe d’une main et de l’autre son épaule, la tenant ainsi entre son mari et moi, et la baisa dur et profond. Mes coups de boutoir lui donnèrent beaucoup de plaisir. Marie gémissait et tremblait m’incitant à continuer à la baiser durement. Dans son vagin mon gland se durcit et grossit encore, et à chaque fois que je sortais et rentrais je lui arrachais des gémissements de plaisir de plus en plus forts. Vas-y ! Prends-la bien me dit Luc, elle aime ça, n’est-ce pas Marie ? Oui oui vas-y prend-moi ! Je veux te sentir en moi ! Je la pénétrai ainsi de longues minutes. Marie était totalement offerte à mon désir et celui de son mari. Elle adorait ça. Je sentis son excitation grandir, des tremblements parcouraient son corps, je sentais qu’elle allait venir, je pris ses seins dans mes mains et me planta en elle puis, dans des soubresauts rageurs, je finis par jouir en elle déversant mon sperme chaud au plus profond de son vagin alors qu’elle aussi jouissait et que son orgasme parcourait tout son corps. Je restai ainsi planter en elle une longue minute jouissant de sa chatte chaude, mon sperme continuant à se répandre dans son ventre. Puis je me retirai et Luc l’invita à le sucer à nouveau, elle ne se fit par prier, pris son vit dans sa bouche gourmande et le suça amoureusement, le remerciant ainsi du bon moment qu’il lui avait offert, et très excité, il ne tarda pas à éjaculer dans sa bouche. Ils repartirent ainsi Marie bien baisée, heureuse et encore toute dégoulinante de nos désirs et Luc fière de sa femme.