Une proposition

Imaginez la scène suivante: Madame porte une longue robe moulante. elle met en valeur ses courbes. Les yeux sont couverts. Vous vous approchez d’elle, doucement, d'un geste de la main sa robe glisse de ses épaules, s'attarde sur ses hanches pour terminer sa descente à ses chevilles. Son corps frissonne. Elle se mord les lèvres. L’excitation monte en même temps que vos mains s'attardent sur ses mollets, ses cuisses, ses fesses, son ventre, ses seins. Vos doigts effleurent son cou puis dégrafent son soutien-gorge. Vous recommencez vos caresses, sensuellement, légèrement, tendrement. Vos mains prennent ses seins, vous coincez les tétons entre l’index et le pouce de chaque main et les pincez. Elle lâche un soupir de plaisir. Pendant ce temps, Madame commence à parcourir un corps étranger des ses mains, mon corps. Elle déboutonne ma chemise, défait la boucle de ma ceinture, et s’attaque ensuite à mon pantalon. Elle s’agenouille, chacun de nous se trouve à l’un de ses côtés. Nous, messieurs, sommes droits, immobiles, seul un boxer/slip pour tout morceau de vêtement. Nos sexes sont gonflés, gorgés de sang, par l’excitation. Ils sont prêts à jaillir de ces bouts de tissus qui deviennent trop étroits. Elle nous ordonne :
- à nus !
Obéissants, nous attrapons l’élastique de nos sous-vêtements et nous les abaissons lentement, libérant nos sexes.
Les mains de madame tâtent nos cuisses nues, effleurent nos bourses et nos queues. Elle les prend en main, les soupèse, puis les agite doucement.
Nous la caressons, tout en caressant en même temps nos sexes. Les mains de madame et les nôtres se touchent, se mélangent. Elle se redresse, tout en nous masturbant. Chacun des hommes se penche vers sa poitrine et saisit entre ses lèvres l’un de ses tétons, pendant que nos mains parcourent son corps tels des sculpteurs qui modèlent un chef-d'oeuvre. Nous aboutissont dans l’antre chaud et humide de son entrejambe. Nous suçons ses tétons. Elle se détent, s'épanouit, s’offre à nos caresses. Dans ses mains, nos sexes deviennent de plus en plus dur. Gorgés de sang, ils sont plus vivants que jamais. Elle sourit, écarte les jambes. Nos mains s’entrechoquent sur son sexe ainsi offert. La main de madame serre nos sexes. Elle devient plus excitée.
- à mon tour, dit-elle.
Le souffle court, le masque tombé de ses yeux, elle regarde, fascinée, nos sexes turgescents. De nous voir ainsi nus, tremblant d’excitation, le sang palpitant furieusement dans notre corps, nous sommes encore plus excités. Nos cœurs s’affolent. Les doigts de madame étreignent nos sexes. Elle fait courir ses mains sur toute leurs longueurs, descend jusqu’à nos couilles, remonte, joue avec les glands.
Elle s’agenouille ensuite, le visage rayonnant, les lèvres charnues, gonflées par le sang, entrouvertes, elle nous avale tantôt ensemble, tantôt l'un après l'autre. Sa langue glisse sur nos chibres, elle s’amuse de nos émois, puis se déchaîne nos désirs les plus lubriques.

La suite, c’est à l’appréciation du moment…

Qu’en pensez-vous ?